Parce qu’ils ne disposent pas d’un contexte familial aussi sécurisant que les autres, les jeunes protégés doivent faire face, à leur majorité, à de multiples transitions. Sur une période très courte, ils doivent s'adapter à une nouvelle vie sociale et familiale, l'entrée sur le marché du travail, l'occupation d'un logement en autonomie, et ce, avec moins de soutiens.